Ce n'est pas la bonne saison (plutôt y aller en décembre) mais je n'en démordrai pas : je VEUX voir des flamands roses. Et l'endroit
où ils sont, c'est Celestún, donc détour obligatoire. À une nuance près : le sable blanc ne donne pas toujours des paysages "tulumesques", loin s'en faut. Le village n'est pas très "entretenu",
les plages carrément dégueulasses, et les mangroves, nombreuses, provoquent une odeur nauséabonde généralisée.
Mais en revanche, s'il faut se contenter de quelques flamands roses de rien, la balade en lancha permet aussi de découvrir de nombreux
oiseaux sur "leur" île (pélicans, frégates, canards, etc).
Encore un "pilote" de lancha émérite pour nous conduire...
Curieusement, et malgré l'odeur, c'est l'entrée dans le "manglar", la mangrove, qui m'a le plus impressionnée. Rien à voir avec les
couleurs de Sian Ka'an - voir article précédent -, mais l'enchevêtrement de racines
crée des images surréalistes. Et si la saison des pluies éloigne les flamands roses, elle permet au moins de colorer l'eau d'un rouge "terracotta", assez fascinant.
coucou gracianne que de magnifiques photos trop beau ,avec choupi ont avaient vu cet endroit pour le visiter ,mais hélas encore trop loin de notre hotel sniff sniff grrrr grrr ,ont vois a travers<br />
toi gros bisous
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ah non, merci à toi d'apprécier (j'étais tellement furax d'avoir fait un pareil déplacement pour aussi peu de flamands roses au final que ça me réconforte !)... Normalement, il y a cent fois plus<br />
de flamands roses, mais ces bouffeurs de crevettes ont aussi besoin de migrer pour aller se "rosifier", rires...<br />
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